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Témoignage Jeanne – Quel bilan de compétences choisir

Jeanne a 27 ans. Au bout de 3 ans dans une grande industrie agroalimentaire en tant que cheffe de projet en recherche et développement elle fait face à un mal-être et un sentiment de ne plus être à sa place là où elle est. On lui dit qu’il est encore tôt pour se reconvertir, qu’il faudrait qu’elle prenne son temps avant de décider qu’elle n’est pas à sa place. « Peut-être que vous changerez d’avis ? » Cependant elle n’est toujours pas convaincue, au fond d’elle, elle sait qu’elle n’est pas à sa place, elle décide alors de faire un bilan de compétences pour se (re)trouver. 

Vous vous voyez dans cette description ? Vous ne savez pas quel bilan de compétences choisir ? l’équipe avisée de psychologues du travail se tient à votre disposition pour tout vous expliquer.

Un début de carrière prometteur

Pour commencer, Jeanne obtient son diplôme d’ingénieur en agro alimentaire. Ensuite,  elle rentre directement dans le marché du travail. Elle intègre une grosse entreprise de l’industrie agro alimentaire, elle est enthousiaste de rejoindre son équipe. C’est un grand bon en avant dans le monde professionnel car elle commence son parcours en tant que cheffe de projet recherche et développement.

“Ma créativité est bridée”

Le métier de cheffe de projet en recherche et développement lui plait bien sur le papier. Elle apprécie développer et concevoir des nouveautés et ça tombe bien créer c’est le principe du métier. Pourtant dans la réalité il s’agit juste du réajustement de recettes qui existent déjà pour que les recettes puissent mieux coller aux nouvelles réglementations. On lui fait bien comprendre que la créativité ça n’est pas indispensable dans son entreprise, voir à banir. Ce n’est pas la seule désillusion à laquelle elle fait face. Son manager participe à son mal être déjà bien installé. Il freine Jeanne et ses opportunités d’évolution de carrière.

quel bilan de compétences choisir

“J’ai la tête sous l’eau”

L’organisation de l’entreprise se résume à une hiérarchie verticale qui accumule la pression sur les employés, couplée à de la misogynie internalisée. Elle s’entend bien avec la plupart des personnes de son équipe, à l’exception de son manager qui la plonge sous le travail sans trop lui donner l’opportunité d’évoluer dans sa carrière. Le manager de Jeanne se montre peu compréhensif, sa marge d’erreur est limité à l’image de son autonomie dans ses missions. Elle qui a toujours eu dans son caractère un esprit assez novateur ne peut plus remettre en questions les modes de travail établis, et on ne l’écoute pas. Dans ce secteur d’entreprise c’est généralement ce mode de management qui prime, avec une vision veillissante de la valeur du travail. 

 

La jeune génération préférera mille fois se mettre en danger plutôt que de sacrifier son bien-être”

 

Elle se retrouve dans ce qu’elle appelle « jeune génération », mais comme tout le monde elle a des responsabilités, un loyer à payer et des charges. Par ailleurs, ce n’est pas sans amertume que Jeanne parle de l’ambiance dans laquelle elle se trouve en tant que femme dans l’entreprise

“On ne m'entend pas”

En effet, c’est une jeune femme dans la vingtaine quant à eux se sont majoritairement des hommes cinquantenaires. Cette nuance de titre lui a valu plus d’une fois, une impression constante de ne pas être écoutée au même titre que les autres. 

La boule au ventre et les pleurs au quotidien

Le mal-être qu’elle ressent au travail la suit jusque chez elle en témoignent ses pleurs quand elle rentre du travail. Sa vie personnelle se retrouve entachée “c’est dur d’être perdue mentalement”. Elle remet sans cesse ses choix en questions, sans trouver de réponse. Elle a quand même passé 5 ans à étudier, pour obtenir un diplôme d’ingénieur ce qui n’est pas rien. Par ailleurs, ce ne sont pas des études faciles à valider. 

 

Comment je fais ?”

 

Les week-end parraissent de plus en plus courts, en plus de cela il ne suffisent plus à la reposer. La boule au ventre s’installe de plus en plus fréquemment dans son quotidien. Le travail devient un sujet d’angoisse profonde chez elle, qui retient difficillement son malaise devant les autres.

 

“Je n’imaginais pas pouvoir faire autre chose. J’étais dans une impasse”. 

Le changement - quel bilan de compétences choisir ?

Premier bilan de compétences

Dans son entourage on lui parle de “bilan de compétences”, c’est une solution pour les personnes qui souhaitent se reconvertir sans pour autant savoir dans quel domaine précisement. Elle se penche vers des structures qui lui rétorquent vite qu’il est bien trop tôt pour savoir si le métier qu’elle fait n’est effectivement pas fait pour elle. Néanmoins son mal-être persiste, et passer plus de temps au travail n’y change rien à par peut-être son moral qui empathie toujours plus.

Retour sur le bilan de compétences Opyxis

En parallèle, Jeanne est suivie par une psychologue depuis un bon moment, ça l’aide beaucoup à gérer sa vie. Cette psychologue c’est Dominique, une psychologue du travail et entre autre partenaire Opyxis. Dominique lui annonce qu’elle peut l’accompagner dans son bilan de compétences alors les derniers remparts sautent et elle se lance. Le lien de confiance entre Dominique et Jeanne facilite l’échange, elle se sent accompagnée par une professionnelle de l’humain (psychologue) qui est aussi experte dans le monde du travail.

 

“J’avais besoin de quelqu’un qui me dise que je suis capable de faire autre chose”.

Se (re)trouver avec le bilan de compétences Opyxis

Au fur et à mesure de tests de personnalité approfondis elle apprend à se (re)connaître. Dominique la rassure tout bonnement sur qui elle est à la base. Ce retour aux sources lui permet de répondre à la question qu’elle a souvent éviter : Qui est Jeanne ? c’est un élément créatif qui a besoin de stimulation pour éviter l’ennui sinon quoi elle a tendance à montrer un relâchement conséquent. C’est une personne tournée vers les autres, son côté “social” comme elle l’appelle : quel que soit le type, elle se tient toujours à disposition pour offrir de l’aide. Elle met souvent en question les modes de travail et ne supporte pas les cadres trop fermés.

Pendant le bilan concrètement

Pendant son bilan, Dominique ne lui mâche pas le travail bien au contraire. En rentrant chez elle, elle a des vidéos, podcasts, de la lecture et d’autres ressources à visionner pour l’aiguiller dans sa réorientation. En sortant du bureau de Dominique, les sentiments négatifs qui l’avait accompagné en y allant s’estompent. Elle reprend peu à peu du poil de la bête.

 

Enfin c’est Jeanne qui formule la conclusion de son propre bilan de compétences. C’est un grand pas en avant pour une jeune femme complétement perdue dans sa vie professionnelle. Ainsi, le regain de confiance l’a poussé à changer de travail ou pluptôt d’entreprise.

Il reste du chemin

Elle a quitté l’entreprise pour changer complètement d’environnement quoique ses missions restent dans le domaine de l’ingénierie. Dorénavant elle est consultante. C’est un mode de travail qu’elle n’aurait pas imaginé avant et qui pourtant s’aligne bien avec son côté aventureuse qui a besoin de stimulation. Les missions ne durent que quelques mois, et ça ne lui déplaît pas, bien au contraire. Pour l’instant elle travaille avec une entreprise qui fabrique des sous-marins à “la pointe de la pointe de la technologie !”.

En conclusion, son bilan a démontré que son profil était fait pour l’entrepreneuriat. Et elle ne lâche pas cette idée dans un coin de sa tête. D’ailleurs elle compte bien mettre cette idée en œuvre une fois qu’elle aura accumulé assez de ressources de son côté.

Vous vous reconnaissez ?

Ne restez pas seule, entourez-vous et bien ! Nos psychologues du travail Opyxis seront ravis de vous apporter de l’aide. Profitez d’un premier rendez-vous diagnostique gratuit.