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Pourquoi suis-je devenue psychologue du travail ?

Interview et portrait d’Océane Tamboers, psychologue du travail pour Opyxis à Lille. Océane nous raconte son parcours et le sens donné à son métier de psychologue du travail. 

1. Le pourquoi.

Robin BRENNEUR (Fondateur Opyxis) : « Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? »

Océane TAMBOERS (Psychologue du travail à Lille) : « Je fais partie des rares jeunes qui savaient tout de suite vers quelle filière se diriger. Depuis la 4e au collège j’ai exprimé le souhait de devenir psychologue et à partir de là, chacun de mes choix scolaires ont été réfléchi en fonction de ce projet. »

Robin : « Comment connaissiez-vous ce métier ? »

Océane : « Je ne sais pas comment j’ai connu l’existence de ce métier mais je sais pourquoi je m’y suis intéressée. Comme beaucoup d’enfants, il y a un moment dans ma vie où je me suis sentie incomprise par les adultes et notamment mes parents. Je me sentais seule et je ne savais pas comment faire face à la souffrance que la période adolescente peut nous faire ressentir. »

Robin : « Quel était votre but à ce moment là ? »

Océane : « Souhaitant éviter cette souffrance et cette solitude à d’autres enfants, je me suis dis que je pourrai alors devenir psychologue et accompagner ces jeunes durant leurs difficultés. Je pourrai leur apporter un soutien et un environnement sécurisant afin qu’ils puissent se projeter dans l’avenir en toute sécurité. »

 

2. Le parcours.

 

Robin : « Quel a été votre parcours scolaire ? »

Océane : « J’étais plutôt une élève moyenne mais j’ai choisi de réaliser un BAC scientifique car peu d’étudiants sont au courant, mais les études de psychologie nécessitent quelques bases en statistiques, neurologie et biologie. Cependant, vous pouvez très bien réussir vos études sans avoir réalisé un BAC scientifique. »

Robin : « Et votre parcours universitaire ? »

Océane : « Il y a 10 ans, je commençais mes études de psychologie. Je me souviens d’un échange avec mon père qui me disait « tu devrais absolument te spécialiser en psychologie du travail, c’est l’avenir, tu verras, il y aura de plus en plus de souffrance au travail ».

A l’époque, ça ne m’intéressait pas du tout ! S’il y avait bien une spécialité que je ne ferai jamais, c’était bien celle-ci. Les années ont passé et je suis arrivée en 3e année de Licence.

Là, il fallait faire le choix de la spécialisation. Ce choix m’était impossible. J’hésitais entre plusieurs options et remettais en question mon projet de départ, qui était d’exercer auprès des jeunes en souffrance. »

Robin : « Qu’avez-vous donc fait à ce moment là ? »

Océane : « Je choisi alors de redoubler malgré ce poids sociétal qui nous amène à penser que redoubler c’est mal ! 

 

Finalement, j’étais forcée de constater que mes matières préférées étaient belles et bien en lien avec la psychologue sociale et du travail. Ma réflexion faisait son chemin et je m’approchais de plus en plus de la vie d’adulte.

 

Je prenais conscience que le travail prenait beaucoup de place dans nos vies et que si on était pas heureux au travail, ça me donnait l’impression qu’on passait à côté d’une grosse partie de sa vie. »

 

Robin : « Quelle a été votre décision pour la suite de vos études ? »

 

Océane : « C’est là que j’ai revu mes ambitions. Finalement, mon envie c’était d’aider les gens à être heureux et épanouis. En me dirigeant vers la psychologie du travail, je me suis dis que je pourrai avoir un impact plus étendu sur la population. 

 

Je réalise alors un master en psychologie du travail spécialisé dans l’évaluation. C’est à dire que j’ai été formé à utiliser des outils qui me permettent d’analyser le profil des personnes afin de les accompagner au mieux dans leur vie professionnelle. »

 
Robin : « Qu’est ce que vous ont apporté vos études ? »

 

Océane : « Mes études m’ont beaucoup apporté tant sur le plan intellectuel qu’humain. Durant les trois premières années, nous voyons la psychologie sous tous ses angles. Nous apprenons comment fonctionne le cerveau, le rôles des hormones sur notre fonctionnement, les signes de pathologies à venir, les effets de groupe, le développement de l’enfant jusqu’à l’âge adulte… etc. Nous étudions et analysons les comportements humains afin de mieux les comprendre sans les juger positivement ou négativement ainsi que l’impact de l’environnement et l’éducation sur notre fonctionnement. »

 

 

3. Le sens.

 

Robin : « Quels enseignements tirez-vous de votre parcours ? »

Océane : « Durant 5 ans notre esprit s’ouvre de plus en plus à la compréhension de l’humain. Nous développons notre capacité d’analyse, d’écoute et d’empathie à des niveaux bien plus élevés qu’un être humain lambda. Nous sommes capable de percevoir dans les mots et les gestes un langage bien plus élaboré que dans une simple discussion. 

Mon parcours m’a appris que le bonheur au travail n’est pas si simple à atteindre. Il requière un travail sur soi afin de mieux comprendre ses besoins et ses limites.

 

Pour se sentir épanoui il ne suffit pas de passer un test qui vous dit quel métier peut vous convenir. Cela nécessite une connaissance de soi, une compréhension de l’environnement professionnel, une meilleure maîtrise des interactions sociales.

 

Tout cela, un psychologue du travail peut vous l’apporter lors d’un bilan de compétences grâce à son parcours et aux compétences qu’il a pu développer durant sa formation et son expérience professionnelle. » 

 

Nos psychologues du travail sont là pour vous aider et vous accompagner.

4. Le bilan de compétences Opyxis.

Nous vous accompagnons sur plusieurs agences en France. Chaque agence est composée d’un psychologue du travail expert et formé à la souffrance au travail et à la réalisation de bilan de compétences comme Océane.

Finançables par votre CPF ou l’OPCO, nos bilans de compétences Opyxis, vous permettent de (re)donner du sens à votre vie professionnelle.

 

Robin BRENNEUR