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Pourquoi consulter un psychologue du travail Opyxis ?

Avant toute chose, nous tenons Ă  prĂ©ciser que cet article concerne les psychologues du travail et non les psychologues cliniciens. 

Un.e psychologue du travail vous accompagne sur des problĂ©matiques liĂ©es Ă  la vie professionnelle et non personnelle, mĂȘme si les deux sont parfois Ă©troitement liĂ©es. 

Il.Elle peut intervenir Ă  des niveaux collectifs, sur de la formation, des ateliers ou encore auprĂšs des salariĂ©s d’une mĂȘme entreprise dans une optique d’amĂ©lioration des conditions de travail et/ou la prĂ©servation de la santĂ© mentale. Il.Elle peut Ă©galement intervenir Ă  des niveaux individuels auprĂšs de personnes vivant une souffrance au travail ou souhaitant ĂȘtre accompagnĂ©es dans leur Ă©volution professionnelle.

Plus prĂ©cisĂ©ment, le.la psychologue du travail peut : 

  • Accompagner les trajectoires de carriĂšre (reconversion professionnelle, bilans de compĂ©tences, recrutement, intĂ©gration, reclassement, formations, 
)

  • PrĂ©venir et gĂ©rer les sources de souffrance au travail (burn out, harcĂšlement, conflits, qualitĂ© de vie au travail, surcharge professionelle, discrimination, perte de sens, analyses des pratiques professionnelles)

  • Intervenir dans le dĂ©veloppement des organisations de travail
 

Maintenant que nous en savons un peu plus sur ce qu’est un.e psychologue du travail, voici 4 (fausses) bonnes raisons de ne pas aller en voir un.e.

1. "Je sais déjà pourquoi je vais mal"

Nous entendons souvent des personnes nous dire qu’elles ne vont pas voir de psychologue car elles savent dĂ©jĂ  le pourquoi du comment elles en sont lĂ  aujourd’hui. Peut-ĂȘtre est-ce votre cas ? Mais en ĂȘtes-vous sĂ»rs ?

bilan de competences

 

Un mal-ĂȘtre peut provenir de nombreuses sources diffĂ©rentes ; des problĂšmes de communication, une mauvaise gestion Ă©motionnelle, des difficultĂ©s relationnelles, un traumatisme sous-jacent, etc. Toutes ces raisons proviennent de votre construction personnelle, des croyances et des comportements que vous utilisez pour Ă©voluer dans votre quotidien. 

Parfois les liens que vous faites par vous-mĂȘmes et qui vous semblent si Ă©vidents, ne sont pas forcĂ©ment responsables de la situation dans laquelle vous vous (re)trouvez en difficultĂ©. Il y a certains Ă©lĂ©ments liĂ©s Ă  votre construction de vie qui sont plus subtiles et qui nĂ©cessitent qu’une autre personne vous aide Ă  structurer vos rĂ©flexions et vos analyses. N’oublions pas qu’il existe Ă©galement de nombreux mĂ©canismes psychiques qui s’installent dĂšs notre plus jeune Ăąge pour nous protĂ©ger de la souffrance : le dĂ©ni, la distorsion, l’oubli, le transfert, etc. 

Afin de ne pas ĂȘtre manipulĂ© par notre propre esprit, il est intĂ©ressant de faire appel Ă  un.e spĂ©cialiste du fonctionnement humain tel que le psychologue. 

2. "Je ne vais pas si mal, cela passera"

Nous avons tous et toutes tendances Ă  repousser Ă  plus tard ce qui concerne notre santĂ© mentale. Nous avons mĂȘme souvent tendance Ă  mettre ça sur le dos du temps. 

Ne connaissez-vous pas l’expression “mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir” ? De nombreuses personnes arrivent en consultation aprĂšs avoir craquĂ© psychologiquement. Pourtant, il est beaucoup plus simple d’évoluer professionnellement ou de dĂ©velopper certaines compĂ©tences relationnelles lorsque nous nous sentons en bonne santĂ© mentale. 

Lorsque vous venez une fois le mal fait, il y a tout un travail de remise sur pieds Ă  rĂ©aliser avant de pouvoir vous donner les outils nĂ©cessaires Ă  un mieux ĂȘtre au travail. 

Alors pourquoi ne pas profiter de consulter un psychologue du travail afin d’obtenir des compĂ©tences qui nous permettraient d’éviter une souffrance voire un effondrement psychologique ? 

3. "Parler de mes problÚmes ne m'aidera pas à les résoudre"

Pour celles et ceux qui ont dĂ©jĂ  pratiquĂ© cette mĂ©thode, elle n’est plus Ă  prouver mais nous savons qu’il existe encore de nombreuses personnes qui n’en connaissent pas les bĂ©nĂ©fices. 

bilan de compétences

Le fait de verbaliser ses difficultés, ses inquiétudes, ses doutes ou encore ses souffrances permet plusieurs choses : 

 

  • LibĂ©rer l’esprit de pensĂ©es parasites : tant que vous ne verbalisez pas ou n’écrivez pas ce qui se trouve dans votre esprit, cela aura tendance Ă  continuer de prendre de la place.
 
  • Se soulager des Ă©motions nĂ©gatives et tensions : se sentir Ă©coutĂ© et compris permet de sortir du sentiment de solitude mais aussi de l’impression de gravitĂ© parfois exagĂ©rĂ©e d’une problĂ©matique. Par ailleurs, le simple fait d’exprimer ses ressentis nous amĂšne Ă  les conscientiser et donc Ă  les vivre. Une fois qu’une Ă©motion est vĂ©cue, elle ne nous envahit plus car son ressentie sera toujours Ă©phĂ©mĂšre.
 
  • Trouver de nouvelles solutions et stratĂ©gies : rester seul dans ses rĂ©flexions ne permet pas d’évoluer car vous aurez tendance Ă  chercher des solutions grĂące Ă  ce que vous avez vĂ©cu et ce que vous savez dĂ©jĂ . Parfois cela suffit mais d’autres fois, il est nĂ©cessaire de nourrir votre socle de connaissances du monde pour Ă©laborer de nouvelles façons d’agir face aux problĂ©matiques rencontrĂ©es. Faire appel Ă  un soutien psychologique vous permettra de vivre des prises de conscience et de trouver des solutions concrĂštes.
 
  • Comprendre d’oĂč vient le mal-ĂȘtre : il n’est pas toujours Ă©vident de trouver par soi-mĂȘme les raisons profondes de sa souffrance. Il se peut que les conflits que vous rencontrez au travail proviennent par exemple de la maniĂšre dont vous avez appris Ă  communiquer, en observant votre famille quand vous Ă©tiez plus jeune. La source rĂ©elle d’une problĂ©matique n’est pas facile Ă  trouver seul et c’est pour cela que discuter au calme, Ă  voix haute et avec une personne extĂ©rieure Ă  la situation, peut vous aider Ă  rĂ©aliser des liens parfois insoupçonnĂ©s. 

4. "Je ne sais pas ce que je veux"

Cette (fausse) bonne raison, je l’entends souvent dans le cadre des Ă©volutions professionnelles. Souvent les personnes n’osent pas se lancer dans un suivi avec un psychologue du travail car elles ne savent pas vers quoi elles veulent Ă©voluer. 

Les Ă©changes avec un.e professionnelle vous permettront de structurer votre pensĂ©e, d’analyser qui vous ĂȘtes, sur quoi vous vous ĂȘtes construit, ce qui vous conviendrait en terme d’environnement professionnel pour enfin Ă©laborer des projets potentiels. 

Vous n’avez donc pas besoin de savoir ce que vous voulez pour aller voir un.e psychologue du travail. C’est juste pour cette raison que vous pouvez dĂ©cider de commencer un suivi. 

Et vous, quelle est votre bonne raison de ne pas aller voir un.e psychologue ?

5. Le bilan de compétences Opyxis.

Chez Opyxis, nous rĂ©alisons des bilans de compĂ©tences pour toutes et tous sur plusieurs agences en France. Chaque psychologue du travail Opyxis vous aide Ă  (re)donner du sens Ă  votre travail.